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Autrefois bateaux de pêche elles ne servent plus de nos jours que pour des compétitions sportives de haut niveau. Ces bateaux à l'origine fabriqués en bois sont aujourd'hui en fibre de carbone et pèsent environ 200 kg pour 12m de long.
Les régates, sont issues de la tradition de la pêche en haute mer.Des hommes forts et résistants devaient pouvoir ramer durant de longues heures afin de parvenir sur les lieux de pêche et revenir au port une fois la pêche terminée. Avec l'apparition du moteur les trainiéres ne servirent plus qu'à quelques défis entre village. En 1878 eurent lieu les premières régates à Saint Sébastien et les rameurs se regroupèrent pour former des clubs d'aviron assez nombreux de nos jours.
Assis sur leur banc fixes, les deux mains agrippées à une rame unique, les galériens volontaires s’acharnent en cadence à faire avancer le plus vite possible leur trainière. Leur " patron ", en équilibre instable , debout sur la poupe, godille et exhorte du geste et de la voix ses treize rameurs qui puisent l'énergie nécessaire afin d'aller plus vite que les adversaires.
Les courses de trainiéres connaissent aujourd'hui un franc succès des deux cotés de la frontière, certains équipages s'entrainent de façon professionnelle avec une préparation physique quotidienne.
De notre bord, nous avons régulièrement le loisir et la chance de voir les entrainements sur la Bidassoa, ici les équipes de Hondarribia et de Guadalupe en préparation des régates de Saint Sebastien. C'est impressionnant de puissance... | |
Une petite question me torture depuis quelques temps..... qui de vous deux est le scribe, narrateur, responsable de la tenue du journal de bord.... j'ai bien ma petite idée.... et dans tous les cas.... beau talent sur le fond et la forme..... bravo Sandrine....ma bigouden préférée.....
RépondreSupprimerEt bien, mon très cher Mimi, il s'agit de mon expression libre et suis ravi que tu l'apprécies. Quant au journal de bord proprement dit, moins poétique celui-là mais très complet et officiellement obligatoire à bord, il est tenu a jour par Sandrine.
RépondreSupprimerBravo mon vieux et cher druide... comme dirait notre empoisonneur, il a tout les talents ce mec fait chier on ne joue pas dans la même cour.... bon vent à traou mad et ses deux ô combien charmants écuyers et n'oublies pas de poursuivre ton "roman" au même rythme. bises de vos zamis normands à qui vous manquez beaucoup.
RépondreSupprimerGrosse bise de parisienne qui trouve un air très vénitien à ces sportifs basques. Ça ressemble à la Voga Longa du grand canal...j'ai fait un petit tour dans votre univers avant de faire dodo et vous allez m'accompagner dans mes rêves...à bientôt.Syb.
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